STILLE.D est une méditation sur les concepts associés à la ruine selon Walter Benjamin (la nostalgie, le regret, le déclin, la perte), et sur le paradoxe de l’intérieur bourgeois qui représente à la fois un refuge et l’amplification des impulsions aliénantes de la ville. Le film joue avec les différentes perceptions de la méditation, utilisant l’immobilité, l’enracinement ou une simple goutte, qui se jumelle à merveille à l’adaptation musicale par Stephen Chen du poème de Philip Larkin.