Stephen Chen

Bio

L’artiste multidisciplinaire canadien Stephen Chen a été pianiste concertiste d’avant-garde, photographe artistique, cinéaste, artiste de performance, poète, compositeur et chanteur d’opéra. Son œuvre puise dans ses compétences diverses et une exploration des formes et des enjeux sociaux.

Œuvres

MY WOUNDED HEAD

2014
Stephen Chen

"Ce film ou cette vidéo est disponible en anglais seulement. Utilisez les outils "Rechercher" ou "Explorer" pour sélectionner des films et des vidéos sans dialogue ou en français." A transwoman puts on makeup. The makeup and her movements are a metaphor for her transformation, as well as the dialectical revealing and concealment of herself from the scrutiny of the outside world.

BROKEN ANGEL (GEBROCHENGEL)

2013
Stephen Chen

Près de l’église Saint-Pierre de la Klaus-Mann-Platz de Francfort se trouve un monument commémoratif orné d’une sculpture d’ange (le Frankfurter Engel) qui rend hommage aux hommes et aux femmes d’orientation homosexuelle persécutés et assassinés pendant le Troisième Reich.

DOH! OH DEAR, A FEMALE TEAR!

2013
Stephen Chen

Using the voice as a metaphor for political voice, Stephen Chen traces his journey as a male mezzo, faced with prejudice and marginalization back in Singapore, and later in North America.

INTER-MEZZO

2013
Stephen Chen

Through a triptych, which treats the voice as a metaphor for political voice, Stephen Chen traces his journey as a male mezzo, faced with prejudice and marginalization back in Singapore, and later in North America.

NORTH SOUTH

2013
Stephen Chen

Parmi les rares biens que Stephen Chen avait en sa possession quand il a fui Singapour se trouvait une copie de la bande originale.

PACED

2013
Stephen Chen

En explorant les diverses significations du rythme (vitesse, mesure ou contrainte), PACED sonde le double paradoxe du nomadisme urbain : désaffection envers la connectivité croissante et le mouvement constant de la vie quotidienne qui ne cesse de nous renvoyer au même endroit.

STILLE.D

2013
Stephen Chen

STILLE.D est une méditation sur les concepts associés à la ruine selon Walter Benjamin (la nostalgie, le regret, le déclin, la perte), et sur le paradoxe de l’intérieur bourgeois qui représente à la fois un refuge et l’amplification des impulsions aliénantes de la ville. Le film joue avec les différentes perceptions de la méditation, utilisant l’immobilité, l’enracinement ou une simple goutte, qui se jumelle à merveille à l’adaptation musicale par Stephen Chen du poème de Philip Larkin.