À la manière d’un "Frankenfilm", A Deadman’s Holiday englobe les 20 ans de carrière de Don Best en cinéma d’animation. L’assemblage de ce film est composé des cadavres de pièces d’animation 16 mm non utilisées de provenances diverses comme des œuvres complétées, des œuvres incomplètes, des tests et des expérimentations. En plus de constituer un document historique, il s’agit d’un film personnel sur la mémoire et le passé, comme le souligne l’aspect vocal de la trame sonore.