Chez les Premières nations, les Inuits et les Métis, nous sommes souvent associés à nos traumatismes. Plus précisément aux traumatismes intergénérationnels, qui nécessitent plusieurs étapes pour guérir, afin de favoriser la sécurité, le souvenir, le deuil et la restauration des relations. Durant ces étapes, les personnes autochtones font souvent face à des réactions telles que le choc, la peur et parfois la culpabilité.
Au sein de nombreuses nations autochtones, raconter des histoires fait partie de leur culture, que ce soit via le cinéma, la vidéo, la danse ou la musique. C’est une façon de nous exprimer et de guérir en offrant de l’espoir, de l’inspiration et de l’autonomie à la prochaine génération. Grâce à ces émotions, actions et comportements positifs, nous avons accès à un bonheur sincère et à un sentiment d’épanouissement.
Je vous présente àdisòkàn gaye minawázawin, ce qui signifie « histoires de bonheur » en dialecte algonquin. J’espère que vous aimerez autant ces films que moi!
- Carly Brascoupé
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Faites-nous savoir quel film vous avez préféré!
Au sein de nombreuses nations autochtones, raconter des histoires fait partie de leur culture, que ce soit via le cinéma, la vidéo, la danse ou la musique. C’est une façon de nous exprimer et de guérir en offrant de l’espoir, de l’inspiration et de l’autonomie à la prochaine génération.