Flow est une improvisation inspirée du free-jazz met en scène des séquences visuelles trouvées et un document expérimental sur l’art urbain duquel il est issu. Ce film a été tourné image par image sur pellicule Super 8 au moyen d’une technique de pixellisation des surfaces. On y optimise la continuité en limitant les disparités du matériel. Flow implique une fragmentation cubiste de l’expérience de visionnement ou de la temporalité « normale ».