Un geste anodin est transformé en œuvre d’art par de longues prises de vue, des changements d’angles et des sauts de coupe.
Le rythme, les images et l’approche voyeuriste donnent un caractère émotif à ce film, tout en conservant un récit interne. Grâce à l’accent mis sur les flashs lumineux, les mouvements de caméra et la partition de piano, la subversion même du drame devient dramatique.