The Broken Altar est un portrait des ciné-parcs documenté sous l’étrange lumière du jour, vidés des voix humaines naguère présentes, des trames sonores diffusées à la radio et des pneus sur le gravier.
Auscultant le paysage et explorant les résidus d’une forme d’histoire cinématographique, The Broken Altar présente un traitement sculptural des artefacts architecturaux de ces espaces abandonnés. Des haut-parleurs s’élèvent des herbes hautes comme autant de pierres tombales et les écrans eux-mêmes sont, dans leur blancheur écaillée, monumentaux, voire sépulcraux.