Des images du labyrinthe du château de Hampton Court établi en 1689, possiblement le labyrinthe existant le plus célèbre au monde, sont mises en contraste avec des mosaïques de roches Anishinaabe découvertes dans la région du Whiteshell, au Manitoba. Les haies anglaises bien maintenues sont conçues pour limiter la vue; les roches du Bouclier canadien, arrangées en forme de tortues, de serpents et d’humains, ont été créées pour inspirer l’enseignement et la guérison. Finnigan s’interroge sur la sagesse du colonialisme versus la culture colonisée.