DIFFUSION EN CONTINU GRATUITE : du 13 au 27 OCTOBRE 2020 

 

Table ronde en direct « Les blues de la quarantaine » (QUARANTINE BLUES, in english)

Le 16 octobre 2020 à 16 h, heure de l’Est (États-Unis et Canada)

Rejoignez les cinéastes : Brian Demoskoff, Naomi (sujet). Jaene Castrillon Genova, Gerrie Mackenzie Amy Ness pour une séance de questions-réponses virtuelle le vendredi 16 octobre à 16 h. La conversation sera animée par le producteur James Buffin.

LE BLUES DE LA QUARANTAINE (QUARANTINE BLUES) : 
FILMS DES MEMBRES DE WORKMAN ARTS

Présenté par: 
RENDEZVOUS WITH MADNESS FESTIVAL



 

La cinéaste avant-gardiste Maya Deren a déjà dit : « Les caméras ne font pas des films; les cinéastes font des films. »

Avec les membres de Workman Arts : Gerald Mackenzie, Brian Demoskoff, Genova, Emily Sweet, Jaene Castrillon et un collectif spécial d’étudiants en cinéma de 2020, cet imaginatif et excitant programme de courts métrages met en valeur l’absence de limites du cinéma en tant que moyen d’expression.

Motivés à explorer créativement leur environnement et même à documenter leur vie quotidienne durant une pandémie mondiale, ces cinéastes prouvent que l’équipement crucial pour faire un film est soi-même, son imagination et sa liberté d’en faire usage.
 

 

BLOOD DOWNER

Gerald Mackenzie, 2019, 10:00 minutes

Alvin Rickshaw, un écrivain d’âge mûr dépressif, tente de gérer un sévère syndrome de la page blanche et un manque de confiance en soi. Un soir dans un bar, il rencontre une jeune femme charmante du nom de Nicole Formby. Les choses virent mal lorsque Nicole s’avère être une vampire qui désire le sang d’Alvin. À sa sortie de l’hôpital, Alvin recherche en vain Nicole, qui est soudainement incapable de fonctionner comme prédatrice impitoyable, car elle souffre soudainement de dépression.

 

A LASTING IMPACT

Emily Sweet, 2020, 05:00 minutes

A Lasting Impact explore l’isolation sociale et la stigmatisation qui accompagnent souvent le fait d’être sur le spectre. Traiter les individus avec gentillesse et comme des égaux, peu importe leur condition, peut avoir un impact positif sur les générations. La façon dont nous traitons les gens influence la façon dont ils traitent les autres, pour le meilleur et pour le pire.

 

RESPECT

Jaene F. Castrillon, 2020, 45:00 minutes 

« Ils se respectent les uns les autres, afin d’être cléments entre eux. » 
- James Vukelich

Mariant prose, autoportrait et documentaire en spoken word à propos de ma relation avec le vent, ce film est divisé en 4 sections (Zahwenjige, Zoonigide'e, Dabasendizowin, Bagijigan), qui représentent un jeûne de 4 jours. Une méditation à propos du vent en tant que remède et à propos de ses effets sur ma vie.

En montrant comment le vent interagit avec les éléments (eau, terre, air, feu), nous pensons aux enseignements de mes ancêtres sur la façon dont le corps et l’esprit nous connectent aux éléments en tant qu’êtres physiques et, surtout, sur la façon dont nous sommes connectés les uns aux autres. Cette œuvre décrit comment le vent nous chuchote l’amour dans le cadre de la création sacrée.

 

ALL THIS TIME 

Genova, 2020, 10:00 minutes

Ce film explore une question personnelle ayant une plus vaste portée : qu’arrive-t-il lorsque quelqu’un avec une sérieuse maladie du cerveau depuis toujours, qui a souvent de la difficulté avec l’idée d’exister, tente de redonner à une proche qui a soudainement une différente maladie du cerveau, accompagnée de ses propres humeurs et comportements? Comment ce nouvel arrangement affecte-t-il chaque personne et leur relation père-fille?

  

NAOMI HENDRICKJE LAUFER’S DORMANT

Brian Demoskoff, 2020, 03:00 minutes

Un film de danse expérimental incluant les mots de la poète et artiste Naomi Hendrickje Laufer. Tourné à ce qui sera bientôt l’ancien Workman Arts Theatre, au 651 Dufferin Street, à Toronto.

 

QUARANTINE BLUES (Les blues de la quarantaine)

Susan Lieberman, Gerald Mackenzie, Amy Ness, Omar Samara, Emily Sweet, France Ewing et Lucy Drumonde, 2020, 21:00 minutes

James Buffin, Producteur

Oliver Rabinovitch, Montage 

Réalisé au cours du premier printemps de la pandémie covid-19, ce film présente l'auto-documentation collective de six cinéastes torontois à Workman Arts. Si certains des réalisateurs sont expérimentés, d’autres n’ont jamais essayé de travailler avec un appareil vidéo.

N’utilisant que du matériel provenant de leurs propres sources, les réalisateurs ont opté pour l’accessibilité comme portail de la créativité. Privilégiant les appareils tels que les téléphones portables, ils ont capturé des portraits intimes de leurs mondes verrouillés.



    

 

La cinéaste avant-gardiste Maya Deren a déjà dit : « Les caméras ne font pas des films; les cinéastes font des films. »