Le terme « terroir » signifie à la fois un « sentiment d’appartenance » et le fait de « venir d’un lieu ». Cette œuvre est un portrait audiovisuel de ma géographie personnelle ainsi qu’une enquête formelle sur les médias numériques. Les séquences, entièrement filmées à partir d’un téléphone mobile, sont le reflet d’un paysage en mouvement et en désintégration perpétuels. L’image en fluctuation est juxtaposée à une bande sonore qui exige une connexion malgré la distance. Le son provient de messages que des amis et des êtres chers m’ont laissés, depuis plusieurs années, sur la boîte vocale de mon téléphone mobile. La matière première, autant de l’image que du son, provient de la même source, soit le téléphone mobile, que j’utilise pour enregistrer ce qui m’entoure tandis que je me déplace dans le paysage canadien. On fait rarement son nid là d’où on vient. La vie moderne nous pousse naturellement au mouvement. Cette œuvre explore les notions de communication et de distance, de technologie et d’intimité. Le terme « terroir » signifie à la fois un « sentiment d’appartenance » et le fait de « venir d’un lieu ». Cette œuvre est un portrait audiovisuel de ma géographie personnelle ainsi qu’une enquête formelle sur les médias numériques. Les séquences, entièrement filmées à partir d’un téléphone mobile, sont le reflet d’un paysage en mouvement et en désintégration perpétuels. L’image en fluctuation est juxtaposée à une bande sonore qui exige une connexion malgré la distance. Le son provient de messages que des amis et des êtres chers m’ont laissés, depuis plusieurs années, sur la boîte vocale de mon téléphone mobile. La matière première, autant de l’image que du son, provient de la même source, soit le téléphone mobile, que j’utilise pour enregistrer ce qui m’entoure tandis que je me déplace dans le paysage canadien. On fait rarement son nid là d’où on vient. La vie moderne nous pousse naturellement au mouvement. Cette œuvre explore les notions de communication et de distance, de technologie et d’intimité.