La peau comme surface révélatrice devient le véhicule privilégié de la représentation de l’histoire. Un lieu où la culture définit les notions spatiales de confinement et d’exclusion. La peau tatouée devient le point de départ d’une analyse des institutions, des processus économiques et des systèmes éthiques. Métaphore des frontières externes, le tatouage exprime une architecture qui s’applique aux prisons, aux usines, aux écoles, aux entrepôts : des endroits soumis aux principes d’isolation et de surveillance.