Bio
Au cours de ses études en arts visuels à l’UQAM, Pascale Ferland réalise plusieurs vidéos d'art dont certaines furent primées dans le milieu académique. Après s’être consacré à la sculpture, elle signe en 2003 un premier long métrage, L’Immortalité en fin de compte, finaliste pour le Jutra du meilleur documentaire, puis elle fonde Qui vivra verra films afin de produire ses propres réalisations, dont L’Arbre aux branches coupées (2005), sélectionné dans plusieurs festivals nationaux et internationaux. Suite à la faillite retentissante du distributeur indépendant Cinéma Libre en 2005, elle s’implique activement, et cofonde Les Films du 3 mars, un OBNL dédié à la distribution de films d’auteur. S’ensuit Adagio pour un gars de bicycle (2008), sélectionné en tant que film de clôture des RVCQ et – comme ses autres films –, remarqué par la critique et sélectionné dans plusieurs festivals nationaux et internationaux. En 2007, le Prix Victor-Martyn-Lynch-Staunton lui est décerné pour la qualité exceptionnelle de ses réalisations.
En 2012, elle scénarise, réalise et produit un premier long-métrage de fiction, Ressac. Elle travaille actuellement à l’écriture d’un second long-métrage fiction, Rapace, ainsi qu’à un long métrage documentaire, relatant la vie de la chanteuse féministe et souverainiste Pauline Julien.